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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreAvant les propos de Powell, les Bourses européennes sont attendues en baisse, reprenant leur souffle. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.068,62 points (+1,26%), le CAC 40 à 6.907,36 points (+0,68%), le DAX 40 à 14.792,83 points (+1,25%), le FTSE 100 à 7.724,94 points (+0,33%), le SMI à 11.212,57 points (+0,61%), l’AEX à 736,18 points (+1,65%), le BEL 20 à 3.856,91 points (+0,27%), l’IBEX 35 à 8.694,90 points (-0,07%), le DJIA à 33.517,65 points (-0,34%), le Nasdaq à 10.635,65 points (+0,63%), le S&P 500 à 3.892,09 points (-0,08%), et le Nikkei 225 à 26.175,56 points (+0,78%) (cours de clôture).
Pour ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture mentionne qu’à New York, l’EUR/USD est à 1,0743 (+0,07%), l’EUR/JPY à 141,46 (-0,08%) et l’USD/JPY à 131,69 (-0,15%).
Aujourd’hui, les investisseurs surveilleront la présentation du projet controversé de réforme des retraites par la Première ministre. Les mesures retenues par le gouvernement pour redresser le régime actuel seront dévoilées par Elisabeth Borne à partir de 17h30. Parmi les principales annonces attendues figure un report de l'âge légal de départ à la retraite de 62 à 64 ans et un allongement de la durée de cotisation. L'indice de la production industrielle pour novembre doit être publié à 8h45 sur le front des indicateurs économiques. Tandis que Getlink dévoile ses chiffres du trafic en décembre, Airbus présente ses commandes et de livraisons d'avions pour 2022, pour ce qui concerne les entreprises.
Les marchés d'actions européens devraient ouvrir en baisse aujourd’hui. Les investisseurs reprennent leur souffle après plusieurs séances de forte hausse et se positionnant en vue de la publication des chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, qui devraient donner le ton de la prochaine réunion de la Réserve fédérale (Fed).
Selon les données du courtier IG Markets, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 62 points, soit 0,9% vers 7h40. Le contrat sur le FTSE 100 abandonnait 43 points, soit 0,6%, et celui sur le DAX 40 cédait 118 points, soit 0,8%.
Les investisseurs suivront attentivement ce jour un symposium organisé par la banque centrale suédoise, la Riksbank, sur l'indépendance des banques centrales, en attendant les chiffres de l'inflation américaine. Tout comme Isabel Schnabel, membre du directoire de la Banque centrale européenne (BCE), Andrew Bailey et Haruhiko Kuroda, respectivement gouverneurs de la Banque d'Angleterre et de la Banque du Japon, le président de la Fed, Jerome Powell, participera à cet événement.
Pour sa part, la présidente de la Fed de San Francisco, Mary Daly a estimé hier que les taux de la banque centrale américaine devraient être portés à un niveau supérieur à 5% pour juguler l'inflation. Mary Daly a déclaré « le pense qu’un chiffre supérieur à 5 est, à mon avis, probable ». Il fait référence à l'objectif de taux des fonds fédéraux, dans une interview accordée au Wall Street Journal et diffusée en streaming sur son site internet.
Selon la banquière centrale que la Fed entrait désormais dans une "seconde" phase plus délicate de son cycle de resserrement monétaire. L'institution a relevé drastiquement ses taux directeurs l’année dernière, les faisant passer de quasiment zéro en janvier à une fourchette comprise entre 4,25% et 4,5% fin décembre, soit leur plus haut niveau depuis 15 ans.
Elle a indiqué que « la première phase a consisté à relever rapidement les taux afin qu'ils ne stimulent plus la croissance ». La banquière centrale pense que la nouvelle phase dans laquelle s'engage la banque centrale consiste à relever le taux d'intérêt de référence de manière « juste suffisante », puis à le maintenir pour ralentir suffisamment l'économie afin de faire baisser l'inflation. Cependant, elle prévient qu’il va être difficile de trouver le taux adéquat, mais la Fed doit continuer à agir « jusqu'à ce que le travail soit bel et bien achevé ».
Mary Daly anticipe un ralentissement de l'inflation à 3% d'ici à la fin de l'année, mais ne table pas sur un retour vers l'objectif de 2% de la Fed avant le début 2025. A noté qu’il ne participe pas au vote sur les taux cette année au sein du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC).
Wall Street a terminé en ordre dispersé lundi. Le Nasdaq Composite s'est adjugé 0,6%, l’indice Dow Jones (DJIA) a fini en repli de 0,3% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,1%. Les principaux indices asiatiques présentent également un tableau contrasté mardi. En fin de séance, le Hang Seng, l'indice vedette de la Bourse de Hong Kong, reculait de 0,3%, mais l’indice Nikkei a clôturé sa première séance de la semaine en hausse de 0,8%. Le Shanghai Composite gagnait 0,5%.
Tandis que les investisseurs surveillent les conditions de réouverture de la Chine et attendent les propos du président de la Fed, Jerome Powell, et les chiffres de l'inflation aux Etats-Unis, les rendements obligataires du Trésor américain ont reculé lundi. Pour Oanda, « les espoirs d'un atterrissage en douceur grandissent avant la publication cette semaine d'un important rapport sur les prix à la consommation, qui devrait montrer que les tendances désinflationnistes restent intactes ».
A en croire l'intermédiaire financier, «Wall Street estime que la Fed en a fini avec le resserrement [monétaire] et pourrait réduire ses taux à la fin de l'année ». Les investisseurs suivront les propos de Jerome Powell ce jour, avant les chiffres de l’inflation, qui seront publiés jeudi.
Louis Navellier, président de Navellier & Co a indiqué la Fed ne se bat jamais contre les taux du marché, « donc si les rendements des emprunts du Trésor continuent de diminuer, le comité de politique monétaire de la Fed doit cesser de relever les taux directeurs ».
A en croire président, le mois de janvier a été marqué par de mauvaises nouvelles sur le plan économique aux Etats-Unis, avec un ralentissement de la croissance des salaires, une contraction de l'activité des services après 30 mois d'expansion et une décélération de l'inflation due en grande partie à la modération des coûts des loyers et du logement. La Fed sait qu'en augmentant les taux directeurs, elle a fait éclater la bulle de l'immobilier.
Depuis plusieurs mois, une baisse des ventes de logements anciens est constatée en plus de la chute des prix médians des logements depuis juillet. Face à cet état de chose, Navellier pense que « la Fed a réussi à étouffer l'inflation liée au logement ».
Ce matin, l’euro évolue peu face au dollar. Il se maintient au-dessus du seuil de 1,07 dollar dans la perspective d'un resserrement moins prononcé de la politique monétaire de la Fed. Jeff Ng, analyste devises de MUFG Bank estime dans une note que le rapport sur l’emploi américain la semaine dernière et la possibilité d’une récession aux Etats-Unis devraient limiter les anticipations de hausse des taux de la Fed. Pour l’analyste le dollar reste sur la défensive et la dynamique actuelle pourrait persister avant la publication de l'indice des prix à la consommation aux Etats-Unis en fin de semaine. En ce qui le concerne, ANZ pense que les marchés accorderont beaucoup d'importance à l'inflation américaine jeudi. La banque ajoute que « c’est l'événement majeur de la semaine et nous verrons peut-être moins de volatilité d'ici là ».
Ce matin, les contrats à terme sur le pétrole brut se replient après avoir gagné du terrain lors de la séance précédente, les opérateurs tentant d’évaluer l’amélioration des perspectives de ka demande en Chine et l’incertitude qui persiste en ce qui concerne l’économie mondiale. A en croire Peter McNally, de Third Bridge, malgré le recul observé aujourd’hui, « les catalyseurs sont considérables et réels ».
Pour lui, « les stocks sont faibles par rapport aux niveaux habituels et la possibilité d'une augmentation significative de la demande chinoise est bien réelle à court terme et sur toute l'année 2023 ». Il souligne que la baisse de la consommation en Chine en 2022 a permis d'augmenter les stocks de près de 250 millions de barils.
A en croire l’analyste, « si la réouverture de la Chine se déroule comme celle des économies occidentales, les cours du Brent pourraient rapidement atteindre 100 dollars à l'approche de la saison estivale ». Le contrat de mars sur le Brent de mer du Nord reculait de 11 cents, à 79,54 dollars le baril vers 7h30, tandis que celui de février sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 8 cents, à 74,55 dollars le baril.
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