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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes Bourses européennes devraient ouvrir en baisse en attendant les chiffres du PIB de la zone euro. L’Eurostoxx 50 à 3.500,14 points (+0,29%), le CAC 40 à 6.104,61 points (+0,19%), DAX 40 à 12.871,44 points (+0,87%), le FTSE 100 à 7.300,44 points (+0,18%), le SMI à 10.834,18 points (+0,14%), l’AEX à 675,27 points (+0,17%), le BEL 20 à 3.572,76 points (+0,14%), l’IBEX 35 à 7.842,20 points (-0,26%), le DJIA à 31.145,30 points (-0,55%), le Nasdaq à 11.544,91 points (-0,74%), le S&P 500 à 3.908,19 points (-0,41%) et le Nikkei 225 à 27.376,31 points (-0,91%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York, l’EUR/USD à 0,9952 (+0,19%), l’EUR/JPY à 139,94 (+0,23%) et l’USD/JPY à 140,65 (+0,04%).
Dans un contexte morose pour l'économie européenne, les investisseurs attendent mercredi le point de conjoncture de l'Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), qui dévoilera à cette occasion ses nouvelles prévisions de croissance et d'inflation. Du côté des entreprises, Ubisoft a annoncé mardi soir que le géant chinois des réseaux sociaux Tencent avait pris une participation économique dans Guillemot Brothers Limited, la holding familiale à la tête de l'éditeur de jeux vidéo, à hauteur de 49,9% du capital et 5% des droits de vote. Le conseil d'administration d'Ubisoft a de plus autorisé Tencent à augmenter sa participation directe dans Ubisoft de 4,5% à 9,99% du capital et des droits de vote.
L'investissement de Tencent dans Guillemot Brothers Limited, s'élève à 300 millions d'euros - 200 millions d'euros d'acquisition de titres et 100 millions d'euros d'augmentation de capital - faisant ressortir une valeur par transparence d'Ubisoft à 80 euros par action.
Les marchés d'actions européens devraient débuter la séance de mercredi en forte baisse, la crise énergétique en Europe et les attentes en matière de resserrement de la politique monétaire des banques centrales pesant, une fois de plus, sur le moral des investisseurs. A 7h30, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 56 points, soit 0,9%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX cédait 111 points, ou 0,9%, et celui sur le FTSE 100 reculait de 58 points, soit 0,8%.
A la veille d'une décision de politique monétaire très attendue de la Banque centrale européenne (BCE) et alors que les signes annonciateurs d'une récession se multiplient en zone euro, les investisseurs seront particulièrement attentifs mercredi à la deuxième estimation du produit intérieur brut (PIB) de la région. La première estimation d'Eurostat, publiée le 29 juillet, faisait état d'une croissance de 0,7% par rapport au premier trimestre et de 4% sur un an. Les chiffres de la production industrielle en Allemagne, pays qui est particulièrement touché par la crise énergétique, seront également surveillés.
Aux Etats-Unis, l'attention des marchés se concentrera sur le Livre Beige de la Réserve fédérale (Fed), un document préparatoire à la réunion du comité de politique monétaire qui aura lieu les 20 et 21 septembre. Les opérateurs suivront par ailleurs dans la soirée la "keynote" d'Apple, au cours de laquelle le géant technologique américain devrait dévoiler une nouvelle gamme d'iPhone. En Chine, le rythme de croissance des exportations a ralenti en août, ressortant inférieur aux attentes du marché, en raison d'un affaiblissement de la demande mondiale pour les produits chinois, selon des données officielles publiées mercredi.
Les exportations chinoises ont augmenté de 7,1% sur un an en août, après avoir crû de 18% en juillet, selon l'Administration générale des douanes. Ce chiffre est inférieur à la croissance de 12,5% anticipée par les économistes sondés par le Wall Street Journal. Après ces annonces, les marchés actions asiatiques perdent du terrain mercredi. En fin de séance, l'indice Nikkei cédait 0,9% à Tokyo, tandis que le Hang Seng reculait de 1,6% à la Bourse de Hong Kong. Le Shanghai Composite grappillait 0,1%. La baisse des actions en Asie et celle attendue en Europe s'explique également par un net repli des valeurs américaines à Wall Street mercredi, en raison de craintes liées à la remontée des taux d'intérêt. L'indice Dow Jones (DJIA) a clôturé en baisse de 0,6% et l'indice élargi S&P 500 a cédé 0,4%. Le Nasdaq, riche en valeurs technologiques, a reculé de 0,7%, accusant ainsi sa septième séance consécutive, une première depuis 2016.
Les rendements des obligations du Trésor américain poursuivent leur progression mardi, les statistiques économiques publiées mardi ayant entraîné une révision à la baisse des prévisions de récession aux Etats-Unis et conforté l'idée d'un cycle prolongé de resserrement monétaire. Mardi, les rendements des titres à deux et dix ans ont enregistré leur plus forte hausse en une séance depuis un mois après l'annonce d'une légère progression de l'indice ISM des services. Selon Capital Economics, les chiffres "montrent une fois encore que l'économie n'est pas au bord de la récession : la moyenne pondérée des deux indices ISM correspond en effet à une croissance annualisée d'environ 3% du PIB".
Poursuivant sa baisse face au billet vert, l'euro a enfoncé mercredi matin le seuil de 0,99 dollar. A 7h30, la monnaie unique s'échangeait à 0,9898 dollar. L'euro évolue actuellement à ses plus bas niveaux des 20 dernières années, tandis que le dollar est porté par les craintes de ralentissement de l'économie mondiale, frappée par les répercussions de la guerre en Ukraine, sur les prix de l'énergie notamment, et la politique "zéro Covid" de la Chine. Dans le même temps, l'inversion de certaines courbes des taux aux Etats-Unis s'est réduite, signalant ainsi que les investisseurs sont moins convaincus qu'une récession se profile outre-Atlantique qu'ils ne l'étaient pendant l'été. Cette situation pourrait profiter au dollar en sa qualité de devise refuge.
Les contrats pétroliers s'inscrivent en baisse mercredi matin, pénalisés par les faibles perspectifs de la demande. Mardi, le baril de Brent a clôturé en repli de 3%, tandis que le brut léger doux (WTI) coté à New York a terminé quasi inchangé. Les cours du pétrole accusent de nettes baisses par rapport aux points hauts en 14 ans atteints en mars, peu après l'invasion de l'Ukraine par la Russie. Les opérateurs craignent que la politique "zéro Covid" de la Chine et le resserrement musclé de la politique monétaire des grandes banques centrales n'entraînent un ralentissement de la demande mondiale. Vers 7h20, le contrat de novembre sur le Brent de mer du Nord perdait 1,47 dollar, ou 1,6%, à 91,36 dollars le baril, tandis que celui d'octobre sur le brut léger doux (WTI) coté à New York abandonnait 1,65 dollar, soit 1,9%, à 85,23 dollars le baril.
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