En 2019, le chiffre d'affaires quotidien sur toutes les bourses de l'Afrique par rapport à l'a chuté l'année précédente, à l'exception de la Bourse de Maurice (SEMDEX) où le chiffre d'affaires a progressé de 57% à 15 millions $. Selon le rapport publié Afrique brillant 2019 par le cabinet d'analyse Riscura, SEMDEX a enregistré la plus forte hausse du chiffre d'affaires quotidien.
« L'amélioration du chiffre d'affaires quotidien MUSE est dû en partie à une taille accrue du secteur de l'immobilier. Selon le FMI, il y avait d'importants investissements directs étrangers dans les secteurs de l'immobilier et en mer réels, » lire le rapport.
Les plus hauts baisses de chiffre d' affaires ont été observées sur les marchés zambien et égyptien à 94% et 43% respectivement. Riscura a expliqué que le marché zambien « a été affecté par des abaissements de crédit par Fitch et Moody au cours de la seconde moitié de 2018 et la politique monétaire contradictoires par une augmentation des taux d'intérêt en mai 2019. »
La Bourse égyptienne est restée le deuxième échange le plus liquide sur le continent. Mais l'échec du gouvernement à offres publiques initiales complètes annoncées sur les entreprises publiques découragé les investisseurs.
La Bourse de Johannesburg reste le plus Bourse de dynamique en Afrique avec une valeur marchande moyenne quotidienne de 1,4 milliard $. Son attractivité, ainsi que celle de la Bourse égyptienne, qui est la deuxième plus grande avec un volume moyen quotidien des transactions de 44 millions $, est lié au fait qu'ils sont à la fois dans la piscine des marchés ciblés par le Fonds indice MSCI.
L'UEMOA Bourse régionale (BRVM) est le marché le moins performant. Malgré le dynamisme de ses dirigeants, ce marché financier fait face à plusieurs défis. Il offre peu d'opportunités commerciales. Selon Riscura, le flottant (actions disponibles pour le commerce actif) est seulement 3% de sa capitalisation globale. Le nombre de sociétés de gestion qui ont des frais plus élevés que la moyenne sur les marchés développés est faible et les entreprises sont plutôt intéressé à des accords de financement des obligations beaucoup plus rentables.