RSS Feed  Les actualités de la BRVM en Flux RSS

NEWS FINANCIÈRES

Nous agrégeons les sources d’informations financières spécifiques Régionales et Internationales. Info Générale, Economique, Marchés Forex-Comodities- Actions-Obligataires-Taux, Vieille règlementaire etc.

Matière première : Goldman Sachs prévoit un prix moyen de 60 $ le baril en 2025 et de 56 $ en 2026

06/05/2025
Source : ORISHAS FINANCE
Catégories: Matières Premières

Profitez d'une expérience simplifiée

Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play Store

Après l'annonce par l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés (OPEP+) d’une augmentation de sa production de brut, la banque américaine Goldman Sachs a revu à la baisse ses prévisions de prix de pétrole pour l’année en cours et l’année prochaine. C’était le dimanche 4 mai dernier.

 

La banque de Wall Street a annoncé dans une note adressée à ses clients que le prix moyen du baril de Brent, qui sert de prix de référence pour une grande partie de la production pétrolière mondiale, devrait s’établir à 60 dollars en 2025, contre une précédente prévision de 63 dollars datant du 14 avril dernier. L’année prochaine, le prix moyen du baril de Brent devrait tourner autour de 56 dollars, soit 2 dollars de moins que l’estimation annoncée par Goldman Sachs en avril. Huit pays membres de l'OPEP+, dont l’Arabie saoudite et la Russie, avaient déclaré le samedi 3 mai qu’ils allaient augmenter leur production de 411 000 barils/jour en juin 2025, soit près du triple du volume initialement prévu (137 000 barils supplémentaires).

L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) a abaissé sa prévision de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2025, à 1,30 million de barils par jour (bpj), soit une baisse de 150 000 bpj par rapport à la prévision du mois précédent, dans son rapport mensuel publié le 14 avril dernier. Cette révision à la baisse s’explique essentiellement par les données reçues pour le premier trimestre de l’année en cours et les impacts économiques des droits de douane annoncés par les États-Unis.


0 COMMENTAIRE